000 01652nam a22002297a 4500
003 DO-SdCIDB
005 20240111120804.0
008 240111b |||||||| |||| 00| 0 eng d
020 _a9782940505289
040 _aCID-Babeque
_bspa
_cCID-Babeque
_eRCAA
041 _afre
080 _a82-1
100 _9736
_aPoget, Pierrine
245 _aFondations /
_cPierrine Poget
260 _aChavannes-de-Bogis :
_bEmpreintes,
_c2017
300 _a61 pág. ;
_c19 cm
500 _aAu commencement, il y a le temps suspendu d’une enfance. La vie de la campagne – des étangs, un bois, une maison – peuplée d’animaux, de plantes et de présences. Puis l’équilibre se rompt, la sœur demeure recluse dans une chambre. Le mot « guérison » est prononcé, mais rien n’y fait. Un jour « elle » ne peut plus se lever. « Personne ne connaîtra son visage de femme. » La poésie de Pierrine Poget tente de retrouver l’unité, elle se soumet à un « éternel effort » pour dire l’enfance, cette « prodigieuse indéfinition » où le monde semblait venir manger dans notre main. Surtout, pour recueillir ce qu’il reste de ce passé lumineux, dans chaque geste de la vie adulte. Lire Fondations, c’est se laisser emporter par une ancienne légende dorée, et en même temps conduire dans une histoire concrète, qui se déroule aux abords d’une cour de ferme. Le poème déplie un univers aux contours suggérés, d’une grande sensualité, pour dire ce qui fut perdu. Julien Burri
586 _aPrix de poésie C.F. RAMUZ 2016
650 0 _9737
_aPoesía
650 0 _9514
_aLiteratura francesa
942 _2udc
_cLIB
_n0
999 _c13450
_d13450